
Evidemment. Il fallait que cela commence ici, sous un crépuscule ambré.
Ce n’est que très naturel. J’ai posé les yeux sur quelque chose que je ne puis enlever de ma vue depuis, un bref aperçu de la folie, du désespoir et de la perfection.
Ah, ce désir. Les crocs et les griffes de la beauté. J’erre depuis lors, cherchant ce que j’ai trouvé puis perdu. D’aucuns diraient que j’ai été frappée par une malédiction. D’autres diraient que je suis mentalement malade depuis ma Révélation, lorsque les Ecritures m’ont rendu visible l’Acte II et ses premières stances. Lorsque l’Etranger a retiré son Masque Blême – et en effet, il était grand temps, tout le monde avait ôté son déguisement, sauf lui. C’est ensuite que j’ai rencontré le Roi en Jaune pour la première fois. Pas pour la dernière, j’ose l’espérer.
Je ne suis pas maudite. Je suis bénie, et parfaitement saine d’esprit avec cela, merci bien.

Of course. It had to began here, in an amber twilight.
It’s only natural. I’ve laid my eyes on a thing that cannot be unseen, a brief glimpse of madness, despair and perfection.
Ah, the longing. The fangs and claws of beauty. I’ve been a wanderer since, looking for what I have found and lost. Some would say I’ve been cursed. Some would say I’m mentally ill since my Revelation, when the Scriptures showed me the first stances of Act II. When the Stranger took his Pallid Mask off – indeed, it was time, all had laid aside disguise, but him. Then, I met the King in Yellow for the first time. Not for the last, I dare to hope.
I’m not cursed. I’m blessed, and perfectly sane with that, thank you.